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818 éléments trouvés pour «  »

  • A Silenzio / Claire Laude

    [Essarter] Quelles traces peuvent laisser l’histoire et les activités des hommes dans un paysage rural ? Quel sens porter à la présence de ces résidus ? [TAWP] Un peu compliqué, non ?. 500 ex Crowfunding Le site de Claire Laude > Le site des Editions Essarter > #EditionsEssarter #ClaireLaude

  • Siempre que / Céline Croze

    [Céline Croze] « Tant que nous serons en vie nous nous verrons » C’est la dernière phrase que m’a dite Yair. Nous étions sur l’azotea (toit) du bloc 11, la brume enveloppait Caracas, la rumeur folle de la ville ressemblait à un chant funèbre. C’était une balle dans mon cœur. La conscience de sa propre fin avait quelque chose de terrible et sublime à la fois. Tout était dit. L’urgence de la vie, la fascination pour la mort, l’effondrement du pays. L’extrême violence et l’absurdité de la situation donnait l’impression que la vie n’était qu’un jeu. Je me rappelais deux jours plus tôt la gallina (arène pour combats de coqs). L’odeur du sang mélangée au rhum et la sueur, les cris de rage, l’excitation de chaque homme. Une transe impalpable enivrait l’arène. Comme si nous étions tous fous. Comme si le sang, la mort et le pouvoir rendaient plus vivants. L’énergie chaotique de la ville raisonnait dans chaque combat telle une danse qui se déploie, qui reste et pleure impuissante. Un mois plus tard, Yair fut abattu. Il avait 27 ans. Mes errances en Amérique latine furent traversées par d’autres rencontres saisissantes. Comme ces coqs de combats, je voyais des êtres danser et s’accrocher au désordre. J’y retrouvais à chaque fois cette même sensualité insolente, comme une furieuse provocation, comme un cri d’adolescent amusé par le danger, condamné et libre. [TAWP] Requiem pour des vies tragiques. Fascinant. Lauréat du Prix Nadar – Gens d’images 2022 Céline Croze représentée par la Galerie Sitdown > Le site des Editions Lamaindonne > La vidéo du MAP Toulouse - Festival de photographie > #CelineCroze #GalerieSitdown #EditionsLamaindonne #MAPToulouse

  • Fragiles / Tendance Floue

    [Wajdi Mouawad] Pour eux, comme pour nous, tout ne tient qu’à un fil. [TAWP] Une première déception, peut-être plus au nveau du livre (trop disparate, maquette bancale) qu'au nveau des photos dont certaines sont très touchantes : Mat Jacob, .Pascal Aimar, Grégoire Eloy, Caty Jan, Bertrand Meunier, Ljubiša Danilović et Bertrand Meunier. Collectif Tendance Flou : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Jean-Christian Bourcart (photographe invité), Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Ljubiša Danilović, Grégoire Eloy, Mat Jacob, Caty Jan, Yohanne Lamoulère, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboeuf, Alain Willaume.. Le site de Tendance Floue > Le livre aux Editions Textuel > Le Travail sur Instagram > L'article de France Culture > L'article de Fabien Ribéry > Le site de Mat Jacob > Le site de Pascal Aimar > Le site de Grégoire Eloy > Le site de Caty Jan > Le site de Bertrand Meunier > Le site de Ljubiša Danilović > Le site de Bertrand Meunier > #TendanceFloue #MatJacob #PascalAimar #GregoireEloy #BertrandMeunier #LjubisaDanilovic #BertrandMeunier #EditionsTextuel #CatyJan #WajdiMouawad #FranceCulture #FabienRibery

  • Preto Magazine n°12

    [Fabien Ribery] Des créatures, mi-monstrueuses, comme des astres flottants. Des météorites humaines. Corps abîmés, ensauvagés, enténébrés. Des gestes premiers, primitifs, essentiels. [TAWP] L'origine du monde ?. Découverte de Cloro, Guido Gazilli et de Dimitra Dede. Un excellent numéro. Le site de Cloro > Le site de Guido Gazilli > Le site de Dimitra Dede > Un article de Fisheye Magazine à propos du livre Mayflies de Dimitra Dede > L'article de Fabien Ribery > Le site des Editions Preto > #Cloro #GuidoGazilli #DimitraDede FisheyeMagazine #FabienRibery #EditionsPreto

  • Même Soleil / Gaël Bonnefon & Frédéric D. Oberland

    [Fabien Ribery] Sans soleil est un documentaire de Chris Marker sorti en 1983, film pour lequel le cinéaste se considérait davantage comme un assembleur, un compositeur, un monteur, que comme un réalisateur. Même sans soleil, même absence de soleil, même soleil impur, même atmosphère de contamination et d’irradiation permanentes. Le son est grave, tragique, envoûtant, parce que nous sommes morts, parce que nous nous noyons, parce que nous nous effondrons dans la poussière colorée d’un mal indicible. [TAWP] Au carrefour de l'ombre et de la lumière. Edition : 355/400 ex Crowfunding Le site de Gaël Bonnefon > Le site de Frédéric D. Oberland > L'article de Fabien Ribery > Le livre chez Ascenseur Vegetal > #GaelBonnefon #FabienRibery #FredericD.Oberland #LAscenceurVegetal

  • Revue Like #7

    [TAWP] A retenir les photos russes de Emile Ducke, Guillaume Herbaut, Martin Parr et The Anonymous Project. Le site de Like > Le site d'Emile Ducke > Le site de Guillaume Herbaut > Martin Parr et The Anonymous Project #RevueLike #EmileDucke #GuillaumeHerbaut #MartinParr #TheAnonymousProject

  • Fisheye n°52

    [Fisheye] La photo n’est en rien un art consacré au pays du Soleil-Levant. Y parler de photographie, c’est comprendre qu’aucun auteur n’est prophète en son pays et que la reconnaissance est toujours venue de l’étranger. On peut ainsi découvrir des artistes qui poursuivent une quête photographique majeure depuis des années sans que le vent du succès ne leur ait jamais caressé le visage. [TAWP] Enfin, à nouveau des articles qui m'intéressent : la photo au Japon (surtout Akihitho Yoshida et Mikito Tanaka), la cité Gagarine... le site de Fisheye > Le site d'Akihitho Yoshida > L'instagram de Mikito Tanaka > #RevueFisheye #AkihithoYoshida #MikitoTanaka

  • Fisheye n°51

    [Fisheye] La photographie, littéralement l’écriture avec la lumière, nous a habitués, dans une acception largement fausse, à rendre compte d’une réalité. Or il est évident que cela n’est pas le cas la plupart du temps. Non parce que la réalité y serait altérée, mais sûrement plus parce que l’évidence que nous captons avec nos yeux n’est pas forcément le reflet de la vérité. Comme nous le dit Friedrich Nietzsche : « La vie n’est désormais plus conçue par la morale : elle veut l’illusion, elle vit d’illusion. » [TAWP] RAS... le site de Fisheye > #RevueFisheye

  • Family Diary / Issei Suda

    [Chose Commune] Entre 1991 et 1992, Issei Suda a photographié de manière compulsive avec l’appareil photo Minox, qui est un des plus petits appareils photo qui soit. Si petit qu’il était fréquemment utilisé pour les activités d’espionnage pendant la guerre. Issei Suda a tourné son objectif vers l’intimité de son propre foyer, documentant avec un grand sens de l’humour la vie quotidienne qu’il partageait avec sa fille, son épouse et son chien. Les photographies présentées dans « Family Diary » — title que Suda avait choisi lui-même dans les années 1990 — n’ont jamais été publiées sous forme de livre. [TAWP] Et si le minox était l'ancêtre de la photo-smartphone, du selfie ? Une maquette toujours aussi pertinente. La page Wikipédia de Issei Suda > Le site des Editions Chose Commune > La vidéo de Family Diary > #IsseiSuda #EditionsChoseCommune

  • First Trip to Bologna 1978 - Last Trip to Venice 1985 / Seiichi Furuya

    [Seiichi Furuya] Le "sourire bleu" de Christine à Bologne - qui essayait probablement de me dire ce qu'elle avait sur le cœur - pouvait revenir momentanément, même au milieu des jours où elle était accablée par sa maladie mentale. J'avais documenté ces quelques instants à Venise, faisant un saut de sept ans dans le temps pour rencontrer le même sourire. Bien sûr, ce n'est qu'après avoir vu la maquette de ce livre que j'ai réalisé le "saut" de ce sourire. Je me souviens encore avoir pensé : "Je suis content que nous soyons venus à Venise", alors que je photographiais le moment où elle m'a souri légèrement avec son crâne rasé en traversant le canal sur le ferry. La photographie, elle-même, a toujours été un acte de deuil de ces moments magnifiques, douloureux et uniques. [TAWP] "Toute une vie". Emouvant Edition signée Le site de Seiichi Furuya > Le site des Editions Chose Comune > L'article de AnOther > Traduction : #SeiichiFuruya #EditionsChoseCommune #AnOther

  • Solastalgia / Maya Paules & Benjamin Alexandre

    [Edition Bis] Cette quatrième édition de BIS est un dialogue entre la langue et l’œil. La langue de Benjamin Alexandre, nue, sans artifices ni bourrelets et l’œil de Maya Paules, grand ouvert sur la sauvagerie brute du monde. La langue, seulement capable de dire ce que l’on ne fut pas mais qui revient d’outre-tombe pour lécher nos plaies. Et l’œil, à la fois miroir des peurs ancestrales et témoin des espoirs en cours. [TAWP] De la tendresse dans les photos, plus de peur dans le texte. Très beau travail au niveau de la typo : l'utilisation de la machine à écrire est une petite merveille.. Epuisé (les Editions Bis ont fermés) Avec une photo signée Avec une dédicace Le site de Maya Paules > Le site des Editions Bis > Maya Paules chez Hns Luacas > L'exposition au Studio Spiral > La bande son > #MayaPaules #BenjaminAlexandre #EditionsBis #HansLucas #StudioSpiral

  • Seabound / Elina Brotherus

    [Fabien Ribery] L’artiste pince-sans-rire est une figure de l’attente, presque beckettienne, créatrice d’un burlesque fait de tensions retenues jusqu’à l’extrême, et sans que jamais rien n’éclate ou n’explose. [TAWP] L'histoire de l'art est joyeuse avec Elina Brotherus et sa troublante "indifférence". You know what ? She is happy ! Traduction Deepl Le site d'Elina Brotherus > Représenté par la galerie GB Agency > les Editions Kerher > La vidéo du livre > L'article de Fabien Ribery > L'exposition associée au livre > John Baldessari > #ElinaBrotherus #galerieGBAgency #FabienRibery #EditionsKerher #JohnBaldessari

  • Wunderland / Frank Kunert

    [Polka] Pas question pour l’artisan de retoucher ses photos.
 Il n’aime pas les ordinateurs
 et préfère passer des heures à trouver le morceau de tissu idoine. “Cela fait plus vrai”, comme il dit. Le photographe fige ses dioramas avec une chambre Cambo 4 x 5 sur rails, le même appareil depuis vingt ans. Au premier coup d’œil,
 ses scènes de vie paraissent anodines. On croit voir un banal salon allemand des années 50 ou une façade grise d’immeuble de banlieue. Mais, à y regarder de plus près, quelque chose cloche dans cet univers lisse. La grande force de Kunert réside dans ce moment précis. Un instant d’hésitation pour prendre conscience des éléments surnaturels sur lesquels achoppe notre rationalité. [TAWP] Un cousin de Magritte et Topor. Le site de Frank Kunert > Les Editions Hatje Cantz > L'article de Polka > Video > & > #FrankKunert #EditionsHatjeCantz #Polka

  • Verkehrte Welt / Frank Kunert

    [Editeur] Dans les décors des maquettes, qui sont fabriquées au cours de semaines de travail minutieux et finalement photographiées en studio, Frank Kunert pense et construit de la plus belle des manières contre nos mondes conceptuels et imaginaires usés. [TAWP] Un saut dans l'absurde. Piquant. Le site de Frank Kunert > Les Editions Hatje Cantz > Video > & > #FrankKunert #EditionsHatjeCantz

  • Corpus / Helena Almeida

    [Télérama] L'artiste portugaise donne l'impression in­imaginable qu'elle n'a pas été prise en photo, mais qu'elle est entrée dedans par effraction. [TAWP] Quand la photo joue avec la peinture, quand l'artiste joue avec son reflet, quand le conceptuel est limpide. Très fort. Le catalogue de l'exposition Epuisé L'exposition au Musée du Jeu de Paume > Le catalogue de l'exposition Corpus > La galerie Les Filles du Calvaire > L'article de Télérama > L'article de Culture Box > Une vidéo > L'émission de France Inter > #MuseeduJeudePaume #HelenaAlmeida #Telerama #GalerieLesFillesduCalvaire #FranceInter

  • San Clemente / Raymond Depardon

    [Bernard Cuau] Or Depardon rien n'a volé. Ses photos fraternelles témoignent d'une seule évidence : rien, dans l'asile n'est jamais juste. Il y a toujours trop ou trop peu. Trop de pantalon et pas assez de veste. Trop de graisse pour peu de muscles. (...) Trop de douleur pour pas la peine. [TAWP] Si l'asile n'est pas juste, les photos de Depardon le sont, au plus juste. Le site de Raymond Depardon > Une vidéo "Documenter la folie" avec en parallèle le travail de Wang Bing > Le film sur le même sujet > #RaymondDepardon #BernardCuau #WangBing

  • Manhattan / Raymond Depardon

    [Rémi Coignet] Sans doute, en 1981 Depardon n'a pas su que faire de ces images, hors des canons de l'époque, où pourtant s'élabore la notion de "temps faible" qu'il opposera à l'instant décisif de Cartier-Bresson. Les plaçant en introduction à la Correspondance, il en pressentait néanmoins l'importance. Reprenant les planches contact pour ce qui deviendra Manhattan Out, il élimine une bonne part des 24 images déjà publiées. Toutes celles violemment décadrées ou en contre-plongée trop criantes sont trappées. Ainsi que le revendique le titre en forme de séquence d'un story-board, il ne conserve que des images cinématographiques : 35 mm, plan large, Manhattan, extérieur jour. [TAWP] New york droit dans les yeux ! Excellent même si je n'ai rien compris au texte de Paul Virilio. Traduction by Deepl Le site de Raymond Depardon > L'article de Lense > L'intéressant article de Rémy Coignet > Les éditions Steidl > #RaymondDepardon #EditionsSteidl #Lense #RemiCoignet

  • Face To Face / Seiichi Furuya & Christine Gossler

    [Cécile Poimboeuf-Koizumi] Elle s'appelait Christine. Je me souviens l'avoir croisée en 2010 dans une librairie. Les cheveux courts, le visage baigné d'une lumière, le regard énigmatique. Elle se trouvait devant moi, ou presque : sa présence troublante était imprimé sur la couverture d'un livre intitulé mémoire. Ce portrait fut mon premier contact avec le travail de Seiichi Furuya, auteur de la photographie et époux de Christine. J'ai revu Christine au Japon quelques mois plus tard à l'occasion d'une exposition rétrospective au musée de la Photographie de Tokyo. Un matin, je l'ai retrouvée allongée dans l'herbe vetue de noir, les yeux mi-clos et le haut du visage coiffé d'une fleur blanche. Elle était tout aussi insaissisable que la première fois : la rencontre était, une fois de plus, photographique. [Chose Commune] Depuis la disparition de Christine, Furuya n’a cessé de revisiter son archive. Cette démarche se présente sous forme d’une série de cinq livres intitulés Mémoires, publiés entre 1989 et 2010. En 2018, Seiichi Furuya retrouve des photographies prises par Christine avec un petit appareil de poche et un 35mm, et les trie pour la première fois en suivant l’ordre chronologique. En étudiant ses trouvailles, il découvre avec surprise que Christine tirait aussi souvent son portrait, dans les mêmes instants où lui la photographiait. C’est un vrai “Face à Face”, réalise alors le photographe. Cette nouvelle série est composée de 150 paires de photographies prises sur sept années — de leur rencontre au décès de Christine. Furuya considère ce dernier travail comme l’ultime chapitre qui clôturera les Mémoires, le travail d’une vie ; photos en n.b. et en couleurs. [TAWP] Le bonheur en commun où, dans certaines photos, sourde déjà le drame en devenir. Magistral, émouvant, et comme par hasard édité par Choses Commune qui sait si bien mettre les photo en valeur. Sélectionné Prix du livre d'Auteur des Rencontres d'Arles Epuisé Le site de Seiichi Furuya > Le site des Editions Chose Commune > La vidéo > #SeiichiFuruya #ChristIneGossler #CecilePoimboeufKoizumi #EditionsChoseCommune #RencontresArles

  • Oraison Sauvage / Jean-François Spricigo

    [Marcel Moreau] Le photographe de toute évidence n’est pas de la religion des montreurs d’appas. Montrer, ce n’est pas assez pour lui. Montrer les appas, c’est trop. Il ne s’agit pas, dans son cas, de nier le visible, mais de le renvoyer à ses soubassements, ses ratés, ses tares, ses failles, ses brouillons, pour les aimer, les faire aimer. [TAWP] Toujours aussi fort mais pourquoi choisir ce format à l'itamienne avec une reliure à la française ?. Beau texte de Marcel Moreau qui sert la photo. Pré-sélection Prix Nadar Le site de Jean-François Spricigo > Les Editions Bec en l'Air > L'article de Fisheye Magazine > Mort de Marcel Moreau > Extrait d'une lettre de Marcel Moreau > #JeanFrancoisSpricigo #EditionsLeBecEnLAir #FisheyeMagazine #MarcelMoreau #PrixNadar

  • Fugees / Adrien Tache

    [Adrien Tache] « We are all Fugees ! ». Nous sommes tous des réfugiés. Ce sont les mots que Jeff, un Américain bloqué à Lagos me lâcha, un jour ou il me partageait son histoire. Cela faisait deux ans qu'il se battait sans relâche avec la justice Nigériane pour obtenir la garde de sa fille. Pour lui, que l'on soit réfugié politique ou réfugié dans nos propres doutes et certitudes, nous avions tous le même statut. Et j'étais la, voyageant depuis un moment avec mes carnets de bord et mon « Afghan Box», - cette mystérieuse boîte en bois me servant à la fois d'appareil photo et de labo de développement-, à me demander quel lien implicite reliait toutes ces personnes photographiées rencontrées sur mon chemin. Et si Jeff avait raison ? [TAWP] Sympathiques portraits à l'Afghan Box. Dommage que l'auteur se soit senti obligé de faire une mise en page discutable. Faire confiance aux photos. Acheté suite à l'exposition au Studio Spirale de Grenoble. Le site d'Adrien Tache > Le site des Editions Saturne > L'article de FreeLens > L'exposition au Studio Spirale > #AdrienTache #EditionsSaturne #StudioSpirale #FreeLens

  • Epilogue / Michael Ackerman (2e édition)

    [Jem Cohen] Le temps, dans son grand désordre, est une spécialité de Michael Ackerman. Son œuvre le respecte et le détruit. [Fabien Ribery] Cette deuxième édition – de taille moins monumentale que la précédente -, comprenant une séquence entière encore jamais révélée à ses admirateurs, et accompagnée par un texte de Jem Cohen, ami intime du photographe, est inspirée par la nouvelle de Franz Kafka, Un artiste de la faim (Ein Hungerkünstler, 1922), les 7 numéros de Hunger, dont ce volume est au fond le huitième, donnant à lire la totalité du texte de l’écrivain tchèque. Allégorie de l’artiste affamé par la société contraint de se donner en spectacle pour survivre en y perdant probablement sa dignité, avant que d’être expulsé du cirque qui l’emploie prenant acte du désintérêt du public, cette nouvelle est une réflexion essentielle sur les compromissions et contraintes imposées aux créateurs soumis à la loi et à la férocité du plus grand nombre. [TAWP] Tout le désordre du monde se niche dans ces grains de beautés. Seconde édition de 2020 Le site de Michael Ackerman > Edition Void > La vidéo > L'article de Fabien Ribery > Représenté par la Galerie Camera Obscura > #MichaelAckerman #GalerieCameraObscura #FabienRibery #JemCohen

  • Soho London MMXI / Anders Petersen

    [Edition Mack] Le Soho décrit par Robert Louis Stevenson dans L'Étrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde comme "un quartier d'une ville de cauchemar" est radicalement différent de celui découvert en 2011 par le célèbre photographe suédois Anders Petersen. Dans le cadre d'une série de commandes d'artistes hors site soutenues par Bloomberg, Petersen a été invité par la Photographers' Gallery à effectuer une résidence de quatre semaines dans les bas-fonds créatifs bouillonnants de Londres. Tournant son regard direct et indéfectible vers les rues de Soho, Petersen a produit une série à la fois pénétrante et sensible à ses sujets. Son style intime et diaristique de photographie noir et blanc grossière capture l'essence du Soho d'aujourd'hui tout en vous ramenant dans les profondeurs de son histoire. TAWP] Moins surprenant que celui sur Rome, peut-être car Londres est à plius punk que Rome. Reste quelques magnifiques portraits. d'une profonde tristesse ou mélancholie. Epuisé Le livre en 3 volets "City Diary (Steidl, 2012) a obtenu le "Paris Photo - Aperture Photobook Award 2012" Le site de Anders Petersen > Editions Mack > La vidéo > #AndersPetersen #EditionsMack

  • Rome / Anders Petersen

    [L'ascenseur Végétal] Anders Petersen est un voyageur, il aime les villes, comme le prouve sa bibliographie. Avec Rome, dans son style, sa photographie et sa narration si particulière et si reconnaissable, il nous présente la ville non pas au travers de ses monuments, mais au travers des portraits de passants, des étals de marchands, des animaux, des intérieurs d'appartements, de lits et de corps... Les images contenues dans ce livre ont été réalisées au cours de 3 voyages à Rome en 1984, 2005 et 2012. Une très belle série, une mise en page très simple et très réussie, un très beau livre, que les fans de Petersen voudront absolument. TAWP] Un de ses plus beaux... Rendre Rome aux Romains. Epuisé Le site de Anders Petersen > Edition Punctum Press > La vidéo > #AndersPetersen #LAscenceurVegetal #EditionPunctumPress

  • Pirelli / Chris Killip

    [Chris Killip] Je voulais montrer les mécanismes de fabrication aussi clairement que possible, et faire cela dans cette usine signifiait qu’il fallait y travailler avec de l’éclairage.(…) Cet espace de travail est devenu, avec du sens pour moi, un théâtre, et j’ai adopté le style de ces images avec leur relation à la mode, au film noir et même au réalisme soviétique. Pour moi, ce “style” semble être un chemin plus significatif pour documenter ce rituel forcé. [TAWP] Un peu déçu on flirte avec la commande d'entreprise, beaucoup de fierté, peu de de sueur. Première édition de 2006 Epuisé Le site de Chris Killip > Le sites des Editions Steidl > #ChrisKillip #EditionsSteidl

  • Weegee / Aperture master of

    [Editeur] Weegee a photographié les dessous de la vie urbaine avec un amour du sensationnel. Ses photos de souffrance non dissimulée, de joie bruyante et de rires bouillants ont une beauté troublante. [TAWP] L'art du paparazzi, lesq souffrances de l'Amériques mériteraient une impression de plus grande qualité. Weegee mérite un autre livre. Epuisé La page Wikipedia de Weegee > L'article de Codedrops > #Weegee #Codedrops

  • Intimate Distance / Todd Hido & David Campany

    [Todd Hido.] Je photographie comme un documentaliste, mais je fais mes tirages comme un peintre. » [Edition Textuel] Un monde fait de paysages brouillés et de routes désolées, de pavillons de banlieue traqués dans les faisceaux blafards des lampadaires, de femmes saisies par la peur ou le désir. De jour, les pièces sont des espaces sombres et claquemurés, de nuit, les maisons deviennent des chambres incandescentes. Dans sa préface, l’essayiste David Campany note que « si ces photographies semblent narratives, c’est parce qu’elles suggèrent des histoires non racontées et de possibles scénarios. Elles donnent une sensation de vacuité de ce monde mi-factuel, mi-fictionnel. Malgré la débauche des couleurs, malgré l’épaisseur des atmosphères, Hido manifeste l’économie d’un artiste minimal. » [TAWP] Conceptuel, minimaliste, glaçant, La peur menace derrière des lumières si douces. Une monographie indispensable. Le site de Todd Hido > La vidéo > L'article de Fabien Ribéry > L'article de Artazart > #Todd Hido #FabienRibery #Artazart #EditionsTextuel #DavidCampany

  • End Time City / Michael Ackerman (1ère édition)

    [Michael Ackerman] J’avais un engagement viscéral, et sincère avec la ville. Presque toutes les nuits que j’ai passées à Bénarès, je m’endormais très, très désespéré pour me réveiller et avoir une autre chance d’absorber ce qui était là et de me connecter avec ça. La ville de Bénarès est une combinaison intense de conte de fées et de cauchemar. C’est un lieu très saint pour les gens et chaque jour, ils y viennent par centaines, voire par milliers. C’est un pèlerinage sans fin. En même temps, c’est un endroit si sombre où la mort est toujours présente. Il y a juste ce chaos poétique, une belle urgence. [TAWP] Acheté après la rédition. La pellicule est au bout du rouleau, la mort est fantasmagorique et crue. Magistral. Cette impression n'as pas changée ! Le format un peu plus grand, la photogravure un peu moins belle, c'est une autre version, on imagine le choc que cela a du être à l'époque. Courageux Robert Delpire. Première édition de 1999 Prix Nadar Le site de Michael Ackerman > Le site des Editions Delpire > L'article de Fabien Ribery > Représenté par la Galerie Camera Obscura > #MichaelAckerman #EditionsDelpire #GalerieCameraObscura #FabienRibery #PrixNadar

  • Dear Diary / Anders Petersen

    [TAWP] Cela fait penser aux ouvrages du Mulet (par exemple), mais peut-être que cela devrait être l'inverse... Le site de Anders Petersen > Tirage limité : 196/350 Epuisé #AndersPetersen

  • Alpha Cities / Lucas Lenci / L'impériale Collection n°8

    [Ângela Berlinde] À une époque de catastrophes, où le sentiment que le monde est au bord d'un précipice est très répandu, Vasconcellos coupe le vertige des temps en osant créer une œuvre pour l'éternité, une tâche qui semble appartenir au domaine des étoiles. [TAWP] Les villes vues du paysage d'avant. Editon numérotée : 008/250 Tirage signé Traduction française : Deepl.com Le site de Lucas Lenci > Le site des éditions Editions Bessard > #EditionsBessard #ImperialeCollection #LucasLenci

  • Es-Tu / Claudia Guimaraes / L'impériale Collection n°7

    [Claudia Guimaraes] Un portrait sera toujours un livre ouvert, Un cri ou un aperçu d’un long silence. Un portrait n’est pas une affaire de genre. [TAWP] Encore un livre sur le genre... Editon numérotée : 183/250 ex Tirage signé Traduction Deepl La page Instagram de Claudia Guimares > Le site des éditions Editions Bessard > #EditionsBessard #ImperialeCollection #ClaudiaGuimaraes

  • Amazon - The green Ends / Betina Samaia / L'impériale Collection n°6

    [Betina Samaia] Au début de ce millénaire, j’ai fait des séjours d’immersion pour photographier dans les bois. Et au milieu de la densité de la vaste forêt, mes yeux ont commencé à se tourner vers les champs dévastés, vers les arbres éparpillés... Avec une caméra infrarouge, j’essaie de capter la lumière et les ombres de cette réalité qui sont imperceptibles à l’œil humain. [TAWP] Pas vraiement convaincu.. Editon numérotée : 229/250 Tirage signé Traduction Deepl Le site de Betina Samaia > Le site des éditions Editions Bessard > #EditionsBessard #ImperialeCollection #BetinaSamaia

  • Slow Motion / Stéphane Duroy

    [Fabien Ribéry] Imprimé en riso, technique privilégiant l’accident et la sensation tactile plutôt que les impeccables reproductions proches de l’asepsie, Slow Motion est, en trente images, le condensé d’une vie de photographe allant désormais de plus en plus vers la peinture. [TAWP] L'Humanité à l'état brut. Exemplaires : 300 Signé Stéphane Duroy à l'Agence Vu > Les Editions Bessard > L'article de Fabien Ribéry > L'article de Frédéric Martin dans 5 rue du > #StéphaneDuroy #AgenceVu #EditionsBessard #FabienRibery #FredericMartin #5RueDu

  • Fisheye HS - Femmes photographes

    [Fisheye] Après le hors-série Fisheye Classics consacré à Sebastião Salgado publié au printemps 2020, une nouvelle collection dédiée aux femmes photographes voit le jour cet été. Dédiés aux artistes récompensées par le prix Kering Women In Motion, ces nouveaux hors-séries se composent comme une monographie : entretien avec la photographe, biographie, portfolio d’environ 80 pages, et postface pour mettre en perspective le parcours de l’autrice. Après Susan Meiselas en 2019 et Sabine Weiss l’an dernier, c’est aujourd’hui Liz Johnson Artur qui reçoit le prix Women In Motion 2021, et c’est également elle qui lance cette nouvelle collection. La photographe présentera son travail consacré à la diaspora africaine dans le monde et partagera son regard sur la place des femmes dans la photographie le 5 juillet au Théâtre Antique, aux Rencontres d’Arles. Une partie de ses images sera également présentée à l’exposition Masculinités.. [TAWP] ... ! Le site de Fisheye > #RevueFisheye #LizJohnsonArthur

  • Fisheye n°50

    [Fisheye] Cinquante numéros pour un quotidien cela prend moins de deux mois à concevoir, pour Fisheye, cela nous a demandé plus de huit ans. Pas que nous soyons faignants, mais il faut de l’enthousiasme pour raconter une histoire, surtout avec des images. L’histoire d’un médium qui n’arrête pas de se transformer dans un magazine qui, lui, prend le temps, cela fait parfois des étincelles. Fisheye porte un regard non pas sur la photographie mais sur les photographes, les autrices, les auteurs, ceux qui créent avec le réel et l’irréel. Dans leur complexité, ils nous ont permis avec brio de mieux raconter le monde dans lequel on vit, ou en tout cas, nous croyons vivre. Ils nous inspirent, nous exaltent, nous transcendent, parfois nous énervent, mais ne nous laissent indifférents en rien. Lorsque je regarde les couvertures de Fisheye, je vois des joies, des fiertés, des déceptions, des contradictions, des bouclages tardifs, des moments de vie, des talents, des inconnus, des stars, des femmes, des hommes, un chien, un chat, des oiseaux et désormais un serpent. Emblème de l’énergie vitale par sa mue, cet animal vient acter la transformation réussie, si j’en juge à vos nombreux commentaires, de notre nouvelle formule. [TAWP] Je ne sais pas si c'est la maquette ou les articles mais je passe de moins en moins de temps à le lire... le site de Fisheye > #RevueFisheye

  • New York / Alain Keler

    [9Lives Magazine] Il est nécessaire toujours de revenir à Alain Keler, un jour puis un autre, à ce photographe tout en humilité. Il revient souvent à travers ses archives à une forme de journalisme nomade, faisant paraître sur les réseaux sociaux chaque jour, dira t-on pour partage, sa mémoire photographique et l’occasion pour ses lecteurs de se joindre à lui, de partager ces temps devenus quelques peu mythiques, juste pour dire comment c’était justement à ce moment là, afin de déconstruire le mythe du reporter et d’ancrer son travail dans une écriture du réel à la Kerouac. [Alain Keler] Ce n’est pas toujours évident de photographier sa propre famille mais je suis ravi de l’avoir fait. C’est un travail de mémoire que tout le monde peut et doit faire. C’est aussi à cela que sert la photo. Comme ces vieux albums de famille qui ont une valeur mémorielle extraordinaire : on revoit vivre des personnes qui n’existent plus, on se rejoue les scènes dans les moindres détails. Même si les photos sont mal cadrées ou légèrement floues ! La maladresse est au contraire nécessaire, car la vraie valeur, celle de la mémoire, est symbolique. Aujourd’hui les gens photographient tout avec leur smartphone mais sans classer ni faire de tirages. Prenez en photo votre entourage et imprimez, on n’y pense pas assez ! [TAWP] New York comme j'aurais aimé la découvrir. Et un petit texte éclairant. Edition signée Le site d'Alain Keler > L'Agence MYOP > Le site des Editions de Juillet > L'article de Fabien Ribery > L'interview de Maze > #AlainKeler #EditionsDeJuillet #FabienRibery #AgenceMYOP #Maze #9LivesMagazine

  • La Belgique, l'air de rien / Bernard Plossu

    [Fabien Ribery] Arno boit probablement un dernier verre au bar de L’archiduc, mais la façade bleue est si belle qu’elle en métaphorise les rêves de tendresse. [TAWP] J'aime les Belges et Bernard Plossu. Donc ce livre me ravit. Une seule question faut-il vraiment imprimer en offset des tirages fressons ? Signé Les Editions Yellow Now > L'article de Fabien Ribery > #BernardPlossu #FabienRibery

  • Fold / Arina Essipowitsch

    [Editeur] Dans le temps et dans l’espace il se produit un jeu labyrinthique et surprenant de montage, au sens cinématographique. Les modules rectangulaires sont autant de détails des deux images (Mimesis I, un autoportrait de l’artiste à la Vesse, et Le Vent, un portrait de son ami Masso sur une plage de Fos-sur-Mer) qui semblent n’en former qu’une, à la façon d’un ruban de Moebius. L’artiste se réfère à l’idée de l’identité palimpseste comme à l’un des noyaux de son parcours et de sa recherche. La photographie elle-même sort de son cadre, pour devenir un pli sculptural du temps, un moment de passage toujours à réinventer. [TAWP] Découverte dans le cadre du Mois de la Photo de Grenoble, ce livre d'artiste conceptuel est issu de l'exo . Tous sauf ch... Et on peut récréer son installation. De la belle ouvrage, de la photo en 3 D, du mélange des genres... Edition limitée : 500 ex. Le site de Arina Essipowitsch > Le site de La Compagnie > La vidéo > #ArinaEssipowitsch #LaCompagnie #MoisDeLaPhotoDeGrenoble

  • Revue Like #6

    [TAWP] A retenir surtout la découverte les autres versants de l'oeuvre de Nicolas Nixon, la belle histoire de Pierre-Elie de Pibrac Le site de Like > Nicolas Nixon expose à la Galerie Le Château d'Eau > Le site de Pierre-Elie de Pib > #RevueLike Like #NicolasNixon #PierreEliedePib

  • Le pont du Diable / Francoise Beauguion & Anne-Sophie Tritschler

    [FabienRibéry] Des visages sortent de la brume du temps, nobles et graves, rieurs et tendres, mélancoliques et lointains. [TAWP] Magnifique balade dans l'histoire d'un lieu. Pour une fois le texte et l'image sont intimement liés, sur un même pied d'égalité, Le texte n'est pas là pour apporter un caution aux images, pour expliquer quoique ce soit. Le roman-photo hissé au plus haut niveau. Une mise en page qui n'est pas sans rappeller l'esprit des Editions Origini Edition numérotée 83 / 115 Epuisé Le site de Francoise Beauguion > Le site d'Anne-Sophie Tritschler > La résidence Lumière d'Encre > Le site des Editions VOST > L'article de Fabien Ribéry > La vidéo > Acheter le livre chez Tipi Book Shop > #FrancoiseBeauguion #Anne-SophieTritschler #LumiereDEncre #EditionsVOST #FabienRibery #TipiBookShop

  • End Time City / Michael Ackerman (2e édition)

    [Michael Ackerman] Photographier est un acte désespéré. Je sens le vide. Lorsque tu as déjà vécu, tu comprends que chaque tentative pour remplir le vide n’apporte qu’une solution temporaire ; et il n’y a aucune satisfaction à cela. Je pense que c’est une guerre sans fin avec la solitude qui dure toute la vie. [EXB] La première publication de End Time City inscrivait Michael Ackerman parmi les figures majeures de la photographie. Vingt ans plus tard, cette nouvelle édition, repensée par l’artiste, présente une sélection de ses photographies iconiques, enrichie de nombreuses images totalement inédites, réalisées lors de ses récents voyages à Bénarès, en 2018 et en 2020. Ce nouveau corpus visuel donne à voir une présence plus importante des animaux dans l’univers d’Ackerman. Ce dernier nous emmène dans une folle déambulation au fil des étroites ruelles de Bénarès, cité la plus sacrée de l’hindouisme qui accueille des pèlerins venus mourir ici pour effacer leurs péchés et mettre un terme au cycle des renaissances. Saturées de poussière, peuplées de présences fantomatiques aux regards intenses, les photographies d’Ackerman restituent un monde à la limite du rêve éveillé. [TAWP] La pellicule est au bout du rouleau, la mort est fantasmagorique et crue. Magistral. Seconde édition Le site de Michael Ackerman > Le site des Editions Xavier Barral > L'article de Fabien Ribéry > La vidéo > Représenté par la Galerie Camera Obscura > #MichaelAckerman #EditionsXavierBarral #GalerieCameraObscura #FabienRibery

  • Fisheye n°49

    [Fisheye] Fisheye décline pour ce deuxième numéro de la nouvelle formule ses longues histoires, avec notamment Mathieu Farcy, Sandrine Elberg, Eliott Verdier ou Ella Bats. Un petit régal notamment agrémenté des réflexions de Guillaume Herbaut. Lequel s’impose comme un des grands photographes de son époque. En tout cas, nous construisons avec Fisheye une réalité de la photo- graphie : celle des auteurs, celle du point de vue et d’une exigence que vos nombreux retours nous aident à garder constante. . [TAWP] Resté sur ma fin à part Mathieu Farcy. le site de Mathieu Farcy > #RevueFisheye #MathieuFarcy

  • Fisheye n°48

    [Fisheye] Ce n’est ni notre 50e numéro, ni notre 10e anniversaire, ni une date remarquable, juste le bon moment de se remettre en question et de proposer une nouvelle formule en phase avec vos attentes et avec notre vision. Fisheye, après huit années, avait réellement besoin de faire peau neuve avec cette volonté farouche de servir encore mieux les auteurs. L’équipe s’est donc mise au travail afin de se réinventer, se questionner, s’élever. On a gardé ce qui nous semblait au cœur du projet : le nom, le format et les auteurs. Le reste, on l’a repensé entièrement. Outre cette nouvelle couverture (qui existe en version premium pour les abonnés), vous trouverez deux papiers différents à l’intérieur. Un satiné au début et à la fin pour l’analyse, les agendas, les portraits, les chroniques ou la réflexion. Au centre, un papier mat qui sert une séquence de 60 pages de portfolios qui nous racontent des histoires, sans pub, comme une immersion dans le meilleur des productions photo du moment. Cette séquence est au cœur du nouveau Fisheye, car elle en résume l’esprit : dénicher, partout à travers le monde, les regards les plus en phase avec notre époque. On a voulu être un anti papier glacé. Cet objet que vous tenez entre les mains possède une pérennité. Ce n’est plus tout à fait un magazine, ni un livre, ni un mook, mais un objet à part qui a été pensé pour rendre hommage aux photographes. Ainsi de la fiction de la guerre aux aveugles qui rêvent en image, du road trip mélancolique de Théo Gosselin aux guérisseurs du Pérou, Fisheye a repensé son cœur pour mieux nourrir vos âmes. [TAWP] Resté sur ma fin. #RevueFisheye

  • La Chambre Claire / Roland Barthes

    [Pratique de la voie tibétaine] «Marpa fut très remué lorsque son fils fut tué, et l'un de ses disciples dit : "Vous nous disiez toujours que tout est illusion. Qu'en est-il de la mort de votre fils, n'est-ce pas une illusion ?". Et Marpa répondit : "Certes, mais la mort de mon fils est une super-illusion."» [TAWP] Pas fait Normal Sup, rien compris.... donc pas lu. L'article de Wikipedia > #RolandBarthes #PratiqueDeLaVoieTibetaine

  • Icaro / Irene Zottola

    [Irene Zottola] Notre désir de voler répond à notre besoin de se déplacer d’un endroit à l’autre, bien que nous plongeons très souvent dans un abîme, comme l’a fait Icare. Devenir aéroporté — c’est là que réside la poésie. [Fabien Ribéry] L’impression générale est celle des retrouvailles avec nos dictionnaires d’enfants, dont les illustrations ont durablement impressionné des générations de jeunes lecteurs. [TAWP] Conceptuel et beau, une belle gageure. On aimerait avoir le livre d'artiste dans les mains. Ce projet est le lauréat du cinquième concours de livres photographiques Fotocanal 2020, organisé par la Comunidad de Madrid et les Ediciones Anómalas. Traduction Deepl Le site de Irene Zottola > Le site des Editions Anomalas > L'article de Fabien Ribéry > La vidéo > #IreneZottola #EditionsAnomalas #FabienRibery #Fotocanal

  • Hammer For Scale / Ege Kanar

    [Galerie Pose] Hammer For Scale est une anthologie visuelle retraçant les exemples d'un instrument de terrain commun tels que trouvé dans les archives Web de l'U.S. Geological Survey. Ces images, réalisées au cours d'un siècle par des auteurs anonymes pour la plupart, représentent des pioches photographiées sur des éléments variés du paysage. La compilation aborde les particularités d'une vision délimitante, qui emprunte les qualités formelles d'un outil emblématique pour configurer un espace de négociation avec la nature. [TAWP] Trop conceptuel pour moi. Un cadeau de Tipî Bookshop pour son retard d'envoi Tiré à compte d'auteur 230 ex Le site de Ege Kanar > La vidéo > #EgeKanar #GaleriePose #TipîBookShop

  • Crépuscules / Irène Jonas

    [9 Lives] Les démons d’hier sont ceux là même qui aujourd’hui reviennent au jour, dans un mouvement qui établit une stase entre la sphère de l’intime et le champ de l’Histoire. Ces démons noirs, liens secrets des temps échus sont enfin rendus visibles, grâce sans doute à un long travail d’analyse, par l’énergie de cette photographie pacifiante, où tout s’affiche, s’éteint, où tout se tient et se résout…enfin. [TAWP] Traitement très intéressant mais prises individuellement et sans texte d'accompagnement, ces images résonneraient elles de la même manière ? Je préfère sur un sujet similaiaire le travail de Christine Delory-Momberger. Le site d'Irène Jonas > Le site des Editions de Juillet > L'article de 9 Lives Magazine > L'article de Fabien Ribéry > L'article de 5 Rue du > Représentée par l'Agence Révelateur > Vidéo > #IreneJonas #EditionsDeJuillet #9LivesMagazine #FabienRibery #AgenceRevelateur #5RueDu

  • Divas baroques / Claire & Philippe Ordioni

    [Hikiko Mori] Devant l’objectif de Philippe, je ne suis pas une fille, je ne suis pas sexy, je ne suis pas une trentenaire, je ne suis pas une meuf en galère : je suis un monstre mythologique, burlesque et magnifique, j’instille la peur, le désir et le mystère. [TAWP] Une des belles découvertes de la Bienale d'Ostende dans la Galerie Exposure Value. Le site de Claire & Philippe Ordioni > Le site des Editions Arnaud Bizalion > L'article de Fabien Ribéry > La vidéo > Représenté par la Galerie Exposure Value > #ClaireEtPhilippeOrdioni #EditionsArnaudBizalion #FabienRibery #GalerieExposureValue #HikikoMori

  • Un Voyage En Hiver / Alain Keler

    [Alain Keler] L’histoire n’est qu’un éternel recommencement. C’est l’Est, d’où je viens. Mais c’est peut-être aussi pareil un peu partout. Sauf que l’Est me sensibilise plus, c’est normal. Un traumatisme ne s’efface pas du jour au lendemain, surtout chez les juifs ! [TAWP] De la belle ouvrage. Le texte est bien plus banal... Edition signée Tirage numérotée 1/5 Crowfunding Le site d'Alain Keler > Le site des Editions de Juillet > L'article de Fabien Ribéry > La vidéo > #AlainKeler #EditionsDeJuillet #FabienRibery

  • Catherine / Yves Tremorin

    [TAWP] Beaucoup d'amour. Pas d'éditeur, catalogue d'une exposition Acheté suite à son dernier livre Monique Epuisée Le site d'Yves Trémorin > #YvesTremorin

  • Hôtel Puerto / Philippe Seclier

    [Philippe Seclier] Une incitation au départ, donc un saut dans l’inconnu, où la solitude est évidemment très prégnante. Mais aussi un lieu d’accueil, d’échanges et pas seulement commerciaux. [TAWP] Excellent titre, une belle errance et un homage à Jean-Claude Izzo. Un petit bonheur. textes : Michel Le Bris, Jean Rolin, Alvaro Mutis, José Manuel Fajardo Epuisé > L'article de Fabien Ribéry > #PhilippeSeclier #FabienRibery #JeanClaudeIzzo #MichelLe Bris #JeanRolin #AlvaroMutis #JoseManuelFajard

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