[Edition Bis] Cette quatrième édition de BIS est un dialogue entre la langue et l’œil. La langue de Benjamin Alexandre, nue, sans artifices ni bourrelets et l’œil de Maya Paules, grand ouvert sur la sauvagerie brute du monde. La langue, seulement capable de dire ce que l’on ne fut pas mais qui revient d’outre-tombe pour lécher nos plaies. Et l’œil, à la fois miroir des peurs ancestrales et témoin des espoirs en cours.
[TAWP] De la tendresse dans les photos, plus de peur dans le texte. Très beau travail au niveau de la typo : l'utilisation de la machine à écrire est une petite merveille..
Commentaires