[5 rue du] Il faut faire ce voyage étrange qu’est vivre. [TAWP] Le grimoire des rêves envolés. A lire en écoutant la bande son de Daphné...

[Michael Ackerman] Je me souviens de ma première fois chez Benjamin, ma première fois à Atlanta. C’était tard dans la nuit, après un...

[Kent Kobersteen] Partez pour un voyage autour du monde à la recherche de la nature humaine. The World Is Where You Stop est un regard...

[Christian Caujolle] C’est un monde flottant, en déséquilibre, animé, ou pour le moins agité, et, de là-même difficile à percevoir....

[Editions Bessard] Sa production implique la coexistence entre les technologies, la photographie dans son approche élargie, la...

[Fabien Ribery] Toutes les heures blessent est un livre d’électricité froide, de rêves engloutis et de menace diffuse.

[Olivier Smolders] Il suffit de poussser la porte. Et de décider qu'on n'a plus peur de rien..

[Christian Caujolle] ... quelques profondeurs absolues de noir et de quelques stridences de blanc. Pour laisser toute leur place aux gris.

[Fabien Ribéry] Nous sommes des figurants dans un carnaval triste peint par James Ensor..

[Lorenzo Castore] Tout était sombre, mais splendide.

[Fabien Ribery] Des créatures, mi-monstrueuses, comme des astres flottants. Des météorites humaines. Corps abîmés, ensauvagés, enténébrés.

[Jem Cohen] Le temps, dans son grand désordre, est une spécialité de Michael Ackerman. Son œuvre le respecte et le détruit. [Fabien...

[Michael Ackerman] J’avais un engagement viscéral, et sincère avec la ville. Presque toutes les nuits que j’ai passées à Bénarès...

[Fabien Ribéry] Imprimé en riso, technique privilégiant l’accident et la sensation tactile plutôt que les impeccables reproductions proches

[Michael Ackerman] Photographier est un acte désespéré. Je sens le vide. Lorsque tu as déjà vécu, tu comprends que chaque tentative pour...

[Gabrielle Duplantier] C’est sûr que le noir et blanc ça gomme les effets du temps présent et ça nous sort de la réalité crue de la couleur

[Fabien Ribery] Comme chez Hugo, le noir est le refuge des monstres et des mélancolies.

[Fabien Ribery] Pas de texte mais de la vision brute, en noir & blanc métaphysique.

[Ilias Georgiadis] Ce travail dépeint mes états les plus intimes de peur, de désir, d’affection. Entre la vie et la mort.

[TAWP] Errance fantomatique. découverte de Filippo Boccini, Massimiliano Perasso et Willy Vecchiato

[TAWP] Les gens, seuls. découverte de Jehsong Baak, Miguel Oriola, Chris Shaw, Magnus Cederlund. Bien aimé Jehsong Baak et Magnus Cederlu

[TAWP] Corps à corps... Pas le meilleur de la collection.

[L'Ascenseur Végétal] Preto est une maison d'édition portugaise dédiée à la photographie qui publie la série de publications "Preto", à mi-

[Fabien Ribéry] Melancholia est un crépuscule, une méditation sur le désastre en cours.