[La Chambre Claire] Inspiré par l’entrée de sa fille à l’âge adulte et son départ imminent de la maison, Raymond Meeks étudie les forces centrifuges des lieux où nous vivons – comment elles nous ancrent, nous repoussent et nous reviennent – à travers des scènes qui apparaissent à la fois fragiles et immobiles. Dans ces photographies, les jardins cèdent la place aux fourrés, les maisons sont suspendues à des traverses de chemin de fer empilées, et les fils téléphoniques et les lignes de train suggèrent les réseaux que nous construisons pour trouver notre chemin à travers la nature sauvage du monde.
[TAWP] Toujours aussi sensible, belle reliure en "double page".
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