[Courrier International] Au début des années 1990, Lalla Essaydi retourne à Paris pour étudier aux Beaux-Arts. C’est lors d’un cours d’histoire de l’art qu’elle découvre les fantasmes des artistes occidentaux sur la vie au harem. “C’est là, à cet instant, que ma fascination est née.”
[TAWP] Intéressant mais esthétisant, à moins que je ne sois pas très orientaliste...
Découvert dans Fisheye n°3






