[Télérama] Ses photos – en noir et blanc – racontent le monde… mais surtout parlent beaucoup d’elle. Par leurs cadrages inattendus, le choix de ce qu’elles montrent, leur ambiance poétique et légèrement désenchantée, les images de Catherine Izzo témoignent avant tout de sa façon de voir, de son parcours, personnel. Qu’elle photographie Marseille, où elle est basée, ou d’autres rivages, comme ceux d’Istanbul, elle sait capter l’intime, ce qui l’attache aux lieux qu’elle arpente. Son compagnonnage avec la métropole turque, vieux de dix ans, s’est traduit par un beau livre publié en 2010 aux éditions Le Bec en l’air, Istanbul. Carnets curieux.”
[TAWP] Istamboul, le voyage, du noir et blanc, des mouettes, des cargos, du grain, belle escale ?