[galerie Maubert] Depuis son départ d’Iran, en 1983, chassé par la révolution islamique, Payram développe un travail photographique autour de la fragilité de sa condition d’exilé qu’il met en parallèle avec la fragilité du médium argentique, notamment du polaroïd, instantané et unique. Payram expérimente, tel un alchimiste, la transformation de la matière, la trace lumineuse
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