[Télérama] Attiré par la mode, le nu, mais aussi les objets disparates ou les sciences naturelles, l’Allemand utilise la photographie comme témoin de l’inconstance permanente du monde. Avec un art rare de la mise en scène, il transforme chaque lieu d’exposition, comme actuellement à la Fondation Beyeler de Bâle, en savant bric-à-brac visuel. Toujours déroutant.
[TAWP] Salué par tout le monde. Vraiment bon ? J’aurais bien été voir l’expo en vrai, en grand.