[Marc Riboud] Les visages de pierre me regardent mais les bonzes m’ignorent. Mes appareils en bandoulière dénoncent pourtant l’étranger, le barbare que je suis. En ces lieux livrés à l’abandon, où la solitude m’était familière, apparaît devant moi une vision surprenante : les moines par centaines, des pèlerins par milliers qui donnent pendant trois jours et trois nuits des voix au silence des ruines.
[TAWP] C’est beau, trop beau ?
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