[Jean-Christophe Bailly] Lenz, l’homme et le récit, sont comme un vent qui aurait passé par là et qui, d’un fond obscur, soufflerait encore […]. Nous sommes ici aux antipodes de l’ « instant décisif ». Il n’y a même plus d’instants, rien qu’une dilatation.”
[TAWP] Très émouvant… une belle manière de revenir à Lenz



