[Olivier Kervern] La lumière, la pierre, le corps est une sensualité que je ne connaissais pas. J'ai passé toutes mes vacances en Bretagne et je ne connaissais pas la Méditerranée avant mes vingt-cinq ans. Vivre comme dans les livres ou dans les films que j'aimais était un choc, si je puis dire. Suivre une intuition / fantaisie de quelque chose d'intime et d'étranger. Dans "La Mort en Été", j'ai voulu garder la série des plongeurs comme un plan séquence entrecoupé d'un autre temps, d'autres personnages. Il y a quelque chose d'intime et d'étrange.
[TAWP] Dans la chaleur du saut de l'Ange.
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