[Eric Rondepierre] Je visionne des films dans les cinémathèques occidentales et les collections privées, prélève des images « décomposées » sans les retoucher. Je choisis celles, rares et improbables, où l’empreinte du temps dialogue avec l’image de telle façon qu’il devient parfois difficile de savoir où s’arrête l’image proprement dite et où commence le travail de sa destruction.
[TAWP] Incroyable travail sur le temps.